À la Penne-sur-Huveaune, Emmanuelle s’efforce de vivre une vie dite « normale ». À 42 ans, cette maman de deux garçons est atteinte de la maladie de Parkinson. À la suite de douleurs à l’épaule, puis de tremblements au bras, la Pennoise est envoyée vers un neurologue qui pose un diagnostic le 26 février 2019 : un syndrome parkinsonien. Mais l’employée municipale responsable de secteur dans un service d’aide à la personne a déjà côtoyé la maladie de Parkinson chez les personnes âgées qu’elle assiste et comprendre ce que ça signifie.
Après avoir pris un traitement médicamenteux et vécu une accélération de la maladie, la Pennoise a accepté il y a quelques mois de vivre avec une pompe qui lui injecte quotidiennement la quantité de dopamine manquante. En mai prochain, la jeune femme va subir une chirurgie qui va implanter dans son cerveau de petites électrodes et devrait améliorer ses capacités motrices.
En 2022, Emmanuelle a fondé son association “Une main pour Parkinson”. Un moyen pour elle d’apporter sa contribution à la recherche pour la maladie dont elle souffre et de tendre la main à ceux qui ont perdu espoir de voir leur état s’améliorer.
www.helloasso.com/associations/une-main-pour-parkinson